Typologie(s)

maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1690-1710

Charles-Marcel VAN WYNSBERGHEarchitecte1953

INCONNU - ONBEKEND1829

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Néo-traditionnel

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30790
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Description

Immeuble traditionnelEn briques et en grèsLa maçonnerie en briques est combinée à des éléments en pierre blanche (par exemple pour la plinthe, l’encadrement des baies, la corniche, ...), alors que l’intérieur se compose d’éléments en bois. Ces immeubles sont couverts par une toiture en bâtière et affichent souvent un pignon à gradins (XVIe-XVIIIe siècles).En colombageUne construction en colombage se compose de terre glaise appliquée sur un squelette en bois, renforcé par un tressage (jusqu’au XIXe siècle).  de quatre niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. perpendiculaire de tuiles mécaniques.

Façade originelle de trois niveaux coiffés d’un pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. à simples rampantsAdjectif indiquant qu’un élément d’élévation n’est ni horizontal ni vertical. Par extension, nom donné aux éléments situés de biais d’un pignon ou d’un fronton., modifiée, selon un document de 1829, en façade de type néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., de quatre niveaux. À nouveau transformée en 1953 par l’architecte Charles-Marcel Van Wynsberghe qui la dote d’un pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. et d’un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. fantaisistes.

Sources

Archives
AVB/TP 719 (1829) et 66725 (1953).

Sites internet
BALat KIK-IRPA