Typologie(s)

villa isolée
atelier (artisanat)
maison d’architecte

Intervenant(s)

P.J. PEETERSarchitecte1836

INCONNU - ONBEKEND1894

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Inventaire de l'architecture industrielle (AAM - 1980-1982)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Scientifique
  • Social
  • Technique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30655
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Description

l’angle de la rue de la Prévoyance, ancienne habitation personnelle de l’architecte P.J. Peeters, bâtie selon un permis de 1836.

Originellement, villa isolée d’esprit néoclassique, avec porte axiale vers le jardin, deux niveaux et trois fois cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont une biaise, flanquée d’un mur de clôture et d’écuries. Amenée à son volume actuel — façade vers le jardin avancée de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et ajout d’un demi-étage — et probablement divisée en deux habitations par Peeters en 1842.

Façade enduite et peinte avec haut soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. à jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave, fenêtres rectangulaires à encadrement mouluré, cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. d’appuis, chaînes d’angle et corniche denticulée. Fenêtres jadis carrées du dernier étage agrandies en 1894; moitié gauche du complexe actuellement couverte d’un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briques. Dans la façade vers le jardin, entrée axiale accostée de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. et colonnes corinthiens sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. encadrant un porche en bois avec vitrages à petits-fers. À droite, corps de portail ajouté sur les plans de l’architecte L. Smets de 1945 et réutilisant un portail de pierre bleue en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale..

Dans la cour, ancien magasin à bois et atelier de garnissage d’un fabricant de meuble, selon permis de bâtir de 1894. Construction en briques rythmée par des lésènes. Rez-de-chaussée ouvert, premier étage éclairé par des vitrages continus à petits-fers, deuxième étage ventilé par des abat-vent; haute fenêtre meunière à poutre à palan dans la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale.

Sources

Archives
AVB/TP 24792 (1836, 1842), 24921 (1894), 56834 (1945).