Typologie(s)

entrepôt/dépôt
garage (réparation)
établissement scolaire

Intervenant(s)

VANDERSTRAETENarchitecte1923

Styles

Néogothique

Inventaire(s)

  • Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
  • Inventaire de l'architecture industrielle (AAM - 1980-1982)
  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Etterbeek (DMS-DML - 1994-1997)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Scientifique
  • Technique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

1993-1995

id

Urban : 15371
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Description

Immeuble de style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., construit selon une demande de permis de bâtir de 1923, sur les plans de l'arch. VANDERSTRAETEN.

À l'origine, garage éclairé de deux fenêtres axiales et de deux portes cochères latérales. Façade act. transformée.
En 1987, remaniement de l'intérieur afin d'y héberger la section mécanique et carrosserie de l'institut Saint-Joseph. Un niveau et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont les deux axiales surmontées d'un pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. coupé à créneaux.
Façade en briques rouges ; soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie., appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas., chaperons et créneaux en pierre bleue. Au r.d.ch., deux portes cochères axiales sous arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. Tudor, accostées de deux tripletsGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. inscrits dans un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. Tudor, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. sous arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. brisés ou en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale.. Au sommet, deux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées sous tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. inscrites dans un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. Tudor.

Façade ch. Saint-Pierre, no 196. Dépôt de deux niveaux, construit v. 1880 pour le conseil de fabrique de Sainte-Gertrude. Vendu en 1930 et transformé en atelier de fabrication d'antennes. Remanié entre 1957 et 1963. Act. occupé par l'institut Saint-Joseph. Façade en briques rouges sous couronnement cintré. Fenêtres oblongues à petits-fers. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous poutrelle métallique en I comprenant une porte axiale au r.d.ch. Fenêtre de pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. axiale.

Sources

Archives
ACEtt./TP 3503 (1923), reg. d'entrée 3904 (1987).

Ouvrages
IVAIB, Etterbeek, 1980-1982, fiche 1.