Recherches et rédaction
1993-1995
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
Elle relie la pl. Houwaert au sq. A. Steurs et fut longtemps considérée comme l'une des principales artères du quartier. Elle demeure relativement bien conservée dans son état d'origine, à l'exception d'un certain nombre de façades refaites et d'un immeuble à appartements hors gabarit au coin de la r. Vonck. S'inscrivant dans le plan d'ensemble du nouveau quartier de l'Est, elle suit la direction de l'anc. chemin de la Procession dont l'origine remonte au XVIe s.
Les maisons les plus anc., d'inspiration néoclassique, ont été construites dans les années 1860. Elles s'élèvent à proximité de la pl. Houwaert. Le no 8 (1866) en est un bel exemple ayant conservé son enduit peint d'origine, ainsi que ses boiseries. Les autres maisons, toujours d'inspiration néoclassique ou de style éclectique, datent des années 1870 à 1900. Elles sont pour la plupart de trois niveaux et trois travées. Certaines, plus basses, ne comptent que deux niveaux (n°s 29, 31 [dû à l'arch. Arthur DE Vos], 48). Le no 32 qui en compte quatre, se caractérise par un puissant soubassement en pierre bleue à refends et un décor en stuc relativement développé. À noter aussi la porte en bois à panneaux surmontée d'une imposte garnie d'un vitrail. Un certain nombre de façades jouent de l'opposition de la brique rouge ou blanche et de la pierre (n°s 26, 48, 53 à 59). Les n°s 10 et 29 comprennent un oriel en bois sur consoles.
Les maisons les plus anc., d'inspiration néoclassique, ont été construites dans les années 1860. Elles s'élèvent à proximité de la pl. Houwaert. Le no 8 (1866) en est un bel exemple ayant conservé son enduit peint d'origine, ainsi que ses boiseries. Les autres maisons, toujours d'inspiration néoclassique ou de style éclectique, datent des années 1870 à 1900. Elles sont pour la plupart de trois niveaux et trois travées. Certaines, plus basses, ne comptent que deux niveaux (n°s 29, 31 [dû à l'arch. Arthur DE Vos], 48). Le no 32 qui en compte quatre, se caractérise par un puissant soubassement en pierre bleue à refends et un décor en stuc relativement développé. À noter aussi la porte en bois à panneaux surmontée d'une imposte garnie d'un vitrail. Un certain nombre de façades jouent de l'opposition de la brique rouge ou blanche et de la pierre (n°s 26, 48, 53 à 59). Les n°s 10 et 29 comprennent un oriel en bois sur consoles.
Sources
Archives
ACSJ/Urb./TP 3065 (1885), 4745 (1889), 4668 (1894), 5272 (1897), 5372 (1898), 6054, 6055, 6056 (1901), 6332 (1902).
CC 20.03.1863, 22.O5.1863, 13.O3.1868.
Ouvrages
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, Culture et Civilisation, Bruxelles, 1973, p. 63.
ACSJ/Urb./TP 3065 (1885), 4745 (1889), 4668 (1894), 5272 (1897), 5372 (1898), 6054, 6055, 6056 (1901), 6332 (1902).
CC 20.03.1863, 22.O5.1863, 13.O3.1868.
Ouvrages
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, Culture et Civilisation, Bruxelles, 1973, p. 63.