Recherches et rédaction
1993-1995
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
Reliant la r. de la Poste à la r. Verte, la r. de l'Ascension - qui doit son nom à sa forte pente : une dizaine de mètres de dénivellation - fut ouverte, en même temps que la r. des Secours, en 1843 (AR 12.08.1843) sur les terrains de l'hospice de la Ste Trinité de Bruxelles et dans le prolongement de la r. de la Prairie.
Le côté impair fut le premier bâti de simples maisons d'inspiration néoclassique, pour la plupart modifiées ultérieurement (nouveau revêtement de la façade, exhaussement). Seul le coin de la r. de la Poste fut bâti sensiblement plus tard, en 1895.
Quant aux maisons situées côté pair, également d'inspiration néoclassique, elles datent pour la plupart des années 1860 et présentent une façade enduite et peinte de trois ou deux travées et de trois niveaux sous corniche, parfois séparés par des bandeaux - deux d'entre elles exhaussées d'un étage dans les années 1930 (nos 22, 40). La plupart de ces maisons, et en particulier les nos 4 à 8, 18 et 22 à 40, sont relativement bien conservées dans leur aspect d'origine et constituent un ensemble intéressant. Certaines ont un niveau de soubassement à refends en pierre bleue (nos 32, 36). Un ou deux balcons marquent la travée centrale de beaucoup d'entre elles - au no 18, balcon régnant sur deux travées. Les baies rect. ou surbaissées sont le plus souvent à encadrement plat ou à moulure simple, parfois protégées de barres d'appui (No 28).
Le côté impair fut le premier bâti de simples maisons d'inspiration néoclassique, pour la plupart modifiées ultérieurement (nouveau revêtement de la façade, exhaussement). Seul le coin de la r. de la Poste fut bâti sensiblement plus tard, en 1895.
Quant aux maisons situées côté pair, également d'inspiration néoclassique, elles datent pour la plupart des années 1860 et présentent une façade enduite et peinte de trois ou deux travées et de trois niveaux sous corniche, parfois séparés par des bandeaux - deux d'entre elles exhaussées d'un étage dans les années 1930 (nos 22, 40). La plupart de ces maisons, et en particulier les nos 4 à 8, 18 et 22 à 40, sont relativement bien conservées dans leur aspect d'origine et constituent un ensemble intéressant. Certaines ont un niveau de soubassement à refends en pierre bleue (nos 32, 36). Un ou deux balcons marquent la travée centrale de beaucoup d'entre elles - au no 18, balcon régnant sur deux travées. Les baies rect. ou surbaissées sont le plus souvent à encadrement plat ou à moulure simple, parfois protégées de barres d'appui (No 28).
Sources
Archives
ACSJ/Urb./TP 52, 94, 122 (1863), 88 (1864), 597 (1868), 1973 (1877), 2521 (1881).
AGR 1365.
Ouvrages
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, Culture et Civilisation, Bruxelles, 1973, p.78.
AGR 1365.
Ouvrages
WAUTERS, A., Histoire des environs de Bruxelles, Culture et Civilisation, Bruxelles, 1973, p.78.