Recherches et rédaction
1993-1995
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
Place de plan polygonal située au croisement de la ch. Saint-Pierre et à la rencontre de l'av. des Celtes, de la r. de la Grande Haie, de la r. Général Tombeur, de l'av. de la Chasse et de la r. Louis Hap.
Créée en 1900 à l'emplacement d'un carrefour de très anc. chemins, embellie en 1910, e.a. par la création d'un square circulaire au centre de la place.
Constructions hétérogènes principalement du 1er quart du XXe siècle, excepté les nos 29, 30 (immeubles à appartements modernes) et 38 (1944). Immeubles de tendance néoclassique relativement bien conservés, aux devantures commerciales souvent remaniées, tels les nos 1, 2 (1899), 7-8 (1903), 18, 19, 45.
Façades cimentées (Nos 18, 19) ou peintes (Nos 1, 2, 7-8) comprenant cordons, entablement classique et balcon au 2e ou 3e niveau. Un ensemble d'immeubles en briques rouges agrémentées de briques blanches émaillées pour l'entablement comme au no 25 (1904), de montants harpés aux nos 14 à 16-17, de bandes aux nos 6, 14 à 16-17, 23, 24 (1903), 25 (1904), 41-42 (1911) et de frises d'arceaux aux nos 6, 23, 41-42, parfois enrichis de pierre bleue ou de céramique à motifs floraux comme au no 39-40 (1912).
Parmi les exemples les plus ouvragés, le no 24 (1903) marqué d'une travée d'angle à pan coupé, le no 25 (1904). Les nos 9-10 (1902), 11-12 (1902) et 13 (exhaussé de deux niveaux), de facture moins remarquable, reprennent les mêmes caractéristiques. Remarquons, au no 20-22, la tendance Art nouveau du balcon et des consoles sur une façade relativement classique.
Créée en 1900 à l'emplacement d'un carrefour de très anc. chemins, embellie en 1910, e.a. par la création d'un square circulaire au centre de la place.
Constructions hétérogènes principalement du 1er quart du XXe siècle, excepté les nos 29, 30 (immeubles à appartements modernes) et 38 (1944). Immeubles de tendance néoclassique relativement bien conservés, aux devantures commerciales souvent remaniées, tels les nos 1, 2 (1899), 7-8 (1903), 18, 19, 45.
Façades cimentées (Nos 18, 19) ou peintes (Nos 1, 2, 7-8) comprenant cordons, entablement classique et balcon au 2e ou 3e niveau. Un ensemble d'immeubles en briques rouges agrémentées de briques blanches émaillées pour l'entablement comme au no 25 (1904), de montants harpés aux nos 14 à 16-17, de bandes aux nos 6, 14 à 16-17, 23, 24 (1903), 25 (1904), 41-42 (1911) et de frises d'arceaux aux nos 6, 23, 41-42, parfois enrichis de pierre bleue ou de céramique à motifs floraux comme au no 39-40 (1912).
Parmi les exemples les plus ouvragés, le no 24 (1903) marqué d'une travée d'angle à pan coupé, le no 25 (1904). Les nos 9-10 (1902), 11-12 (1902) et 13 (exhaussé de deux niveaux), de facture moins remarquable, reprennent les mêmes caractéristiques. Remarquons, au no 20-22, la tendance Art nouveau du balcon et des consoles sur une façade relativement classique.
Sources
Archives
AR 26.12.1898, 14.06.1899.
TP, f° 80-81.
ACEtt./ TP 10073 (1899), 14312 (1902), 14955, 15719, 15960, 17515 (1903), 16861 (1904), 3334 (1911), 2705 (1912), Reg. d'entrée 913 (1924), 1241 (1944).
CC 24.07.1898, 07.09.1898.
AR 26.12.1898, 14.06.1899.
TP, f° 80-81.
ACEtt./ TP 10073 (1899), 14312 (1902), 14955, 15719, 15960, 17515 (1903), 16861 (1904), 3334 (1911), 2705 (1912), Reg. d'entrée 913 (1924), 1241 (1944).
CC 24.07.1898, 07.09.1898.
RC 1910, p. 6.