Typologie(s)
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1778-1781
Styles
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
id
Description
Ensemble
symétrique de trois maisons à corps simple, de style néoclassique, datant du
dernier quart du XVIIIe siècle. Trois niveaux de hauteur dégressive
et trois fois quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous une seule toiture d’ardoises à croupesUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux..
Façade enduite, marquée par le ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. des travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’angle et l’horizontale du
soubassement ajouré pour les caves, de la corniche qui couronne le
rez-de-chaussée et de l’entablement terminal. Ouvertures rectangulaires. Dans
chaque travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’angle, une porte cochère à piédroitsLes piédroits sont les éléments verticaux latéraux de l’encadrement d’une baie, portant son couvrement. profilés et entablement
formé par un ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. de la corniche; une porte dans la huitième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade..
Fenêtres à encadrement mouluré au rez-de-chaussée, légèrement en creux aux
étages, pourvues plus tard d’appuis. Panneaux en creux dans les allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. du
deuxième étage et dans la friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. qui souligne la corniche de bois. Six lucarnes
à croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux..
Au n° 3, enlèvement des encadrements moulurés du rez-de-chaussée, après
exécution simplifiée d’un projet d’embellissement en style néoclassicisant
conçu en 1864. Porte murée en 1920 et rouverte au cours de la restauration des
nos 3 et 5 par l’architecte G. Somers, en 1976.
Au n° 7, au rez-de-chaussée des deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales, insertion dans le cordon
d’entablement d’un balcon sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. en pierre bleue et à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en
ferronnerie, suivant le permis de bâtir accordé en 1891 après avoir été refusé
en 1865. En même temps, adjonction d’une annexe et d’écuries, en style
néo-Renaissance flamande. Aménagement intérieur et agrandissement sur les plans
des architecte E. et R. Brassinne datés de 1939.
Sources
Archives
AVB/TP 10296 (1864), 27820 (1920), 88047 (1976), 10299 (1865, 1891), 51012 (1939).